Reflets dans un Pavillon d'or (金閣寺 : Kinkakuji)
S'il est bien un lieu mythique dans une ville qui n'en manque pourtant pas, c'est le Temple du Pavillon d'or à Kyôto, sans doute en partie grâce à un des très grands écrivains japonnais, Yukio
Mishima (1925-1970). Il écrivit en 1956 un roman intitulé "Le Pavillon d'or" à partir d'un évènement célèbre. En juillet 1950, un jeune homme, à la fois moine et étudiant à
l’université Otani, mit le feu au Kinkaku-ji qui se consumma entièrement. Cette personne aurait, selon la presse, voulu mourir dans les flammes. Le pavillon a été reconstruit presque
aussitôt.
C'est un shogun qui fit construire pour lui vers 1397 à l'orée d'une forêt, ce qui était à l'origine un palais. Mais à sa mort, conformément à ses dernières volontés, ce palais devint l'une des composantes d'un grand temple Zen de l'école Rinzai. Sur le toit, on peut voir un fenghuang, le « phoenix chinois ».
Le Kinkakuji attire même l'hiver chaque jour des milliers de touristes, sans parler des pélerins lors des Fêtes.
C'est un shogun qui fit construire pour lui vers 1397 à l'orée d'une forêt, ce qui était à l'origine un palais. Mais à sa mort, conformément à ses dernières volontés, ce palais devint l'une des composantes d'un grand temple Zen de l'école Rinzai. Sur le toit, on peut voir un fenghuang, le « phoenix chinois ».
Le Kinkakuji attire même l'hiver chaque jour des milliers de touristes, sans parler des pélerins lors des Fêtes.
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